mardi 22 janvier 2008

Martine ne rigole plus

vu et lu ici martine-rigole-plus-.html
un peu gnan gnan cet article comme les lecteurs de Martine !!!!!
sinon les parodies etaient excellentes!
cons de parents cons !
moi j'en ai reçut de jeunes mamans et papas qui ... ont le sens de lhumour , encore des blaireaux de catho cul coincés ou
Les illustrations naïves de Martine ont fait le bonheur des internautes.


Les parodies des albums de "Martine" qui fleurissaient sur le Web disparaissent tour à tour, à la demande de l'éditeur Casterman.

L'éditeur belge explique avoir reçu des appels de parents.

Olivier LEVARD - le 19/11/2007 - 18h28

MARTINE PLAYBOY"Martine a loupé son test ADN", "Martine pense au suicide" et même "Martine : merde ma pilule!" : autant d'albums de la petite héroïne de livres pour enfants qui ne verront - heureusement - jamais le jour. Mais ces couvertures fictives imaginées par des internautes se sont répandues à grande vitesse sur le Web provoquant l'hilarité de centaines de milliers de personnes.

Reprenant l'idée d'un blogueur qui avait réalisé les premiers détournements, un internaute a créé le MartineCoverGenerator permettant à tous de créer leurs propres détournements sur le Web. Depuis sa création, le 18 octobre dernier, près d'un million de visiteurs se sont connectés au générateur, en faisant un des buzz les plus impressionnants du Web français.

"Les parents de nos lecteurs ont appelé"

La fin de la récré a sonné, "A la demande (amiable) des éditions Casterman, le site a fermé ses portes le 18 Novembre 2007", peut-on lire sur le site du générateur depuis hier. "Toute l'équipe du site tient à vous remercier pour vos contributions, vos nombreux mails de remerciement, et pour ces grands moments de rigolade !"

"Nous l'avons fait retirer comme nous avions déjà fait retirer un autre blog similaire", confirme l'éditeur belge, que la blague ne fait plus rire, à LCI.fr. Casterman s'explique : "Certains parents de nos lecteurs nous ont appelés pour se plaindre de ces détournements".

"Parodies douteuses"

MARTINE SPACECAKEL'éditeur avoue même par la voix de Christophe Noël, son conseiller juridique, avoir trouvé "drôles" certaines parodies mais en juge d'autres "très douteuses". "On ne voulait pas laisser penser que nos personnages étaient libres de droit", ajoute-t-il, craignant que les détournements fassent tomber Martine dans le domaine public.

Exit donc la petite fille mais le créateur du "générateur de Martine" a offert aux internautes avides de nouvelles parodies le moteur de son petit logiciel, car "Martine aime l'open-source" s'amuse-t-il. Babar, Oui-Oui, et Petit Ours Brun devraient avoir du mal à trouver le sommeil.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire